Prénom : Shiyo
Nom : Harada
Age: 19 ans
Classe et / ou profession : domestique au manoir.
Orientation sexuelle : Bisexuel à préférence masculine.
Fumeur / buveur / drogué : A l’origine, il ne fume pas, ne tient pas vraiment l’alcool, ne se drogue pas non plus (intentionnellement), mais est très influençable.
Caractère / personnalité : Ne supporte pas la vue du sang, il s’évanouit presque à la moindre goutte. Shiyo ne sait pas dire non. C’est quelqu’un de gentil, de naïf. Toujours prêt à rendre service, travailleur, il sait aussi bien nettoyer que réparer, c’est un " touche à tout ". Il est très timide. Il lui est incapable de bien mentir et de cacher ce qu’il ressent réellement. Aimable en toute occasion, il déteste se battre. Malgré sa fonction, il est cependant très cultivé. Il recherche désespérément de l’affection c’est ce qui le pousse à faire confiance aux autres sans forcément les connaître et lui attire pas mal d’ennuis.
Description physique / Goût Vestimentaire : Frêle, au chevaux noir en bataille et aux gris bleu, ce garçon n’est pas vraiment athlétique. Il à cependant des allures de noble, il parle toujours en vouvoyant et respectant les autres, son teint est pâle. Il a quelques marques sur le corps de griffures qui semblent à jamais marquées dans sa chair. Et il a aussi la langue percée cependant, il faut en sorte de ne jamais le montrer. Autour de son coup un tatouage en forme de tige de rose avec des épines, marque de son passé et de sa liberté perdue.
Coté vêtement, Shiyo aime s’habiller en kimono comme autrefois, sinon il porte des ensembles basiques faisant avec ses moyens et les affaires qu’on lui offre, le tout restant très sobre car il n’aime pas être remarqué.
Enfance / passé / histoire : Shiyo est né dans une riche famille de Tokaya, il à suivit une éducation rigide dans le but de devenir un homme d’affaire sans scrupule, comme son père. En famille, Shiyo n’a jamais été le témoin d’affection à son égard et ceux malgré ces notes formidables à l’école. Ainsi les années passèrent sans le moindre changements, Shiyo cherchant toujours de l’affection de la par de ses parents qui ne lui en témoignait jamais. Il commença alors au collège à en rechercher auprès d’autres personnes, il se tournait d’abord vers les filles avec lesquelles il eut des aventures qui ne durèrent jamais bien longtemps, ces filles finissant par le trouver trop émotif. Il se tourna ensuite vers les hommes, mais cette fois il se retrouva confronter à l’homophobie, ce maux qui ronge la planète. Alors qu’il allait entrée aux collège, ces parents eurent un accident de voitures qui leur ôta la vie. Le jeune Shiyo fut marqué par cette tragédie qui allait changer sa vie à jamais. Bientôt, le meilleur ami de son père charger de son éducation s’accapara toute sa fortune et le jeta à la rue. Shiyo se mit alors errer à travers la ville de Tokaya à la recherche d’un toit. Il finit par en trouvé un chez un homme qui l’aperçut sous un pont un soir. Shiyo resta sans problèmes des années chez cet homme qui le traitait merveilleusement bien, lui offrant des livres, ce qui continua à augmenter son intérêt pour la lecture et la découverte ; et bientôt Shiyo éprouva de l’amour pour lui. Seulement cet homme fut bientôt lui aussi empêtré dans de sales histoires : tant et si bien qu’un jour, il revint avec une autre personne à laquelle il vendit Shiyo pour payer ses dettes. Shiyo n’en voulu pas à cet homme qui l’avait nourrit et loger durant toute ces années. Son nouveau patron, fit de lui un prostitué, et Shiyo fit ainsi de nouvelles expérience, il fut forcé à boire, fut victime de sévices auxquels ils n’auraient jamais pensé, cependant dans toute ces relations d’une nuit, Shiyo voyait des preuves d’amour, après tout c’est lui qu’on choisissait ; mais il ne put jamais apprécié son patron qui était un homme sans scrupules qui ne vivait que pour son propre profit. Au cours d’une de ces relations, il se réveilla un jour dans un salon de tatouage, en se relevant il vit dans la glace qu’il s’était fait tatouer une tige de rose qui s’enroulait autour de son coup mais ce n’est pas la seule nouveauté : il avait aussi un percing sur la langue, cependant il n’avait aucun souvenir de cet incident. Le tatouage apparut à ses yeux comme un signe de servitude. Son patron le voyant revenir avec cette marque, se mit à le battre et bientôt, il voulu s’en débarrasser. C’est ainsi qu’à l’âge de 19 ans, Shiyo fut vendu au manoir comme domestique.